- Nom Drogba
- Prénom Didier
- Nationalité Ivoirienne
- Date de naissance 11/03/1978
- Lieu de naissance Abidjan (Côte d'Ivoire)
- Taille 1.88 m
- Poids 84 Kg
- Poste Avant Centre
- Numéro de maillot 11
- International A Côte d'Ivoire
- Qualités: Vitesse, jeu de passe
- Meilleur pied Droit
- Mon enfance
- Né à Abidjan le 11 mars 1978, Didier Drogba a passé son enfance entre son pays natal, la Côte d'Ivoire, et son pays d'adoption, la France. « Tito » comme le surnomment ses proches, quitte, une première fois, sa terre natale, à l'âge de cinq ans. Direction la Bretagne, plus précisément Brest, où évolue son oncle, Michel Goba, joueur professionnel. Ses parents, employés de banque à Abidjan, ont du mal à laisser partir leur petit Didier, mais Michel trouve les mots justes pour les convaincre que cela lui donnera « de vraies chances de réussir dans la vie. ». Durant trois saisons, Didier va donc voyager au gré des clubs de son oncle qui, en plus de poursuivre son éducation, lui rapporte après chaque rencontre des maillots par dizaine. Après trois années passées loin de chez lui, à Brest, Angoulême puis Dunkerque, Didier, alors âgé de huit ans, fait son retour au pays.
- Ma formation
A Levallois, Didier, va être immédiatement pris sous l’aile de Srebencko Repcic, ancien international yougoslave, directeur technique du club francilien. Dès le début de l’aventure, Didier fait preuve de sérieux. « Il n’allait pas en boîte la veille des matches comme tous ses copains », lance Repcic, « C’était un gars sérieux. » Et talentueux. Très vite, sur les terrains de la région parisienne, le natif d’Abidjan marque son territoire. Il devient la star de l’équipe des « moins de 17 » dirigée par Christian Pornin. En deux saisons (94-95 et 95-96), l’avant-centre plante trente buts. Il convainc ses dirigeants qui, l’année d’après, le font monter en « équipe première », formation, coachée par Jacques Loncar, qui évolue en Nationale 2.
Pisté par le Paris Saint-Germain
Le Mans Union Club 72
Le moins que l'on puisse dire, c'est que Didier va connaître des hauts mais surtout des bas, lors de ses débuts au Mans. La faute à la malchance. Lors de ses deux années de stagiaire, « Tito » va se fracturer deux métatarses, un péroné et une cheville. La poisse le poursuit. Heureusement, entre-temps, Didier connaît la joie d'être papa avec la naissance d'Isaac, le premier de ses deux enfants. «Ça a été le tournant de ma vie. Ça m'a mis droit. » avoue-t-il. Malgré ses multiples blessures, Didier apprend, sous la coupe de Marc Westerloppe et de son adjoint, Alain Pascalou, à devenir un joueur professionnel.












