dimanche 24 avril 2011

Didier Drogba

Nom Drogba
Prénom Didier
Nationalité Ivoirienne
Date de naissance 11/03/1978
Lieu de naissance Abidjan (Côte d'Ivoire)
Taille 1.88 m
Poids 84 Kg
Poste Avant Centre
Numéro de maillot 11
International A Côte d'Ivoire
Qualités: Vitesse, jeu de passe
Meilleur pied Droit
 
Mon enfance
 
Né à Abidjan le 11 mars 1978, Didier Drogba a passé son enfance entre son pays natal, la Côte d'Ivoire, et son pays d'adoption, la France. « Tito » comme le surnomment ses proches, quitte, une première fois, sa terre natale, à l'âge de cinq ans. Direction la Bretagne, plus précisément Brest, où évolue son oncle, Michel Goba, joueur professionnel. Ses parents, employés de banque à Abidjan, ont du mal à laisser partir leur petit Didier, mais Michel trouve les mots justes pour les convaincre que cela lui donnera « de vraies chances de réussir dans la vie. ». Durant trois saisons, Didier va donc voyager au gré des clubs de son oncle qui, en plus de poursuivre son éducation, lui rapporte après chaque rencontre des maillots par dizaine. Après trois années passées loin de chez lui, à Brest, Angoulême puis Dunkerque, Didier, alors âgé de huit ans, fait son retour au pays. 
 
Ma formation
A Levallois, Didier, va être immédiatement pris sous l’aile de Srebencko Repcic, ancien international yougoslave, directeur technique du club francilien. Dès le début de l’aventure, Didier fait preuve de sérieux. « Il n’allait pas en boîte la veille des matches comme tous ses copains », lance Repcic, « C’était un gars sérieux. » Et talentueux. Très vite, sur les terrains de la région parisienne, le natif d’Abidjan marque son territoire. Il devient la star de l’équipe des « moins de 17 » dirigée par Christian Pornin. En deux saisons (94-95 et 95-96), l’avant-centre plante trente buts. Il convainc ses dirigeants qui, l’année d’après, le font monter en « équipe première », formation, coachée par Jacques Loncar, qui évolue en Nationale 2.

Pisté par le Paris Saint-Germain

Le Mans Union Club 72

Le moins que l'on puisse dire, c'est que Didier va connaître des hauts mais surtout des bas, lors de ses débuts au Mans. La faute à la malchance. Lors de ses deux années de stagiaire, « Tito » va se fracturer deux métatarses, un péroné et une cheville. La poisse le poursuit. Heureusement, entre-temps, Didier connaît la joie d'être papa avec la naissance d'Isaac, le premier de ses deux enfants. «Ça a été le tournant de ma vie. Ça m'a mis droit. » avoue-t-il. Malgré ses multiples blessures, Didier apprend, sous la coupe de Marc Westerloppe et de son adjoint, Alain Pascalou, à devenir un joueur professionnel.

Un premier contrat pro à 21 ans !

La deuxième année de son contrat d'apprenti, il fait tout de même deux apparitions en deuxième division avec l'équipe professionnelle. Avant de signer en 1999, à 21 ans, son premier contrat pro. L'enfant d'Abidjan, débarqué pour la première fois en France, à Roissy, seize années auparavant, touche enfin au but. Il va enfin pouvoir vivre de sa passion. Son rêve de gosse se réalise. Sa première saison dans la cour des grands est plus qu'honnête. L'attaquant du Muc 72 signe 7 réalisations en 30 matches de championnat. Malheureusement pour le néo-pro, l'aventure mancelle va se terminer en queue de poisson.

En concurrence avec Daniel Cousin

En 2001-2002, les résultats de l'équipe ne répondent pas aux attentes des dirigeants du Mans. Marc Westerloppe, qui l'avait fait venir, est remplacé par Thierry Goudet. Daniel Cousin, qui avait profité de la blessure de Drogba lors de la préparation de pré-saison pour s'imposer à la pointe de l'attaque sarthoise, a les faveurs du nouveau coach. Didier, lorsqu'il joue, n'est plus aligné dans l'axe mais sur les côtés. Il effectue une saison médiocre, n'inscrivant pas le moindre but en onze matches de championnat. La saison d'après, le Franco-ivoirien rebondit et marque 6 buts en 21 matches. L'En Avant Guingamp, où il avait déjà fait un essai en 1998, revient à la charge. En quête d'un attaquant pour pallier le départ de Fiorèse vers le PSG et la blessure de Guivarc'h, les dirigeants bretons jettent leur dévolu sur l'attaquant africain. En janvier 2002, lors du mercato, Didier quitte Le Mans et s'en va goûter, à 24 ans, aux joies de la Ligue 1.



 


samedi 9 avril 2011

Le Parc National de Tai

Le Parc National de Taï (350 000 ha ) tire son nom de la ville de Taï, située le long de la frontière ouest, au sud de Guiglo et à une centaine de km au Nord de Tabou. Classé "Patrimoine mondial" dans le programme MAB des Nations Unies, il renferme de nombreuses essences forestières de qualité et est un lieu de recherche scientifique et médicinal réputé. Peuplé de plusieurs espèces d'animaux, Hippopotames nains, Céphalophes zébrés, Jentink, Bogon, Éléphants, etc., le parc national de Taï est en plein aménagement. II existe une grande facilité d'hébergement, à Taï même, mais aussi à Guiglo et Soubré. La route est bitumée jusqu'à Guiglo et Soubré, et il est possible de s'y rendre par voie aérienne jusqu'à San Pédro.

Le parc National du Mont Sangbe

Situé au Nord de Man et à l'Ouest du fleuve Sassandra, à cheval entre Biankouman et Touba, le Parc National du Mont Sangbé, avec ses 95 000 ha de superficie, est la prolongation touristique de Man et de sa région. Se trouvant entièrement localisé en zone montagneuse (14 sommets de plus de 1 000 mdans les monts toura), ce parc est particulièrement giboyeux et couvert d'une flore très dense. Eléphants, Buffles, Antilopes et singes, constituent en grandes parties l'essentiel de sa faune. Le parc national du Mont Sangbé est accessible par voie terrestre, (route bitupmée jusqu'à Biankouma et Touba), et par avion en direction de Man (air Ivoire).

Le parc du Mont Péko

Renommé pour sa végétation (flore de montagne et de forêt primaire) et situé à quelques kilomètres de Duékoué, ce parc tire son nom du Mont Peko, qui a une altitude supérieure à 1000 m . D'une superficie de plus de 34 000 ha , le parc du Mont Peko possède une faune importante et variée, composée entre autre d'Éléphants, de Panthères, de Buffles, de Céphalophes, de Singes, etc. Plusieurs hôtels à Duékoué et la route bitumée Abidjan-Duékoué, ou par les airs en direction de Man, permettent aux touristes un accès facile et un hébergement de qualité.

Le parc National de La Marahoué


D'une superficie de 101 000 ha , et situé dans la région de bouaflé, au Nord de la route goudronnée (venant de Yamoussokro et allant à Daloa), le parc de la Marahoué offre à ses visiteurs un environnement de qualité et parfaitement aménagé pour les accueillir ; le parc dispose, en effet d'un centre d'accueil et d'hébergement, de plusieurs miradors, des marres aux crocodiles, aux Buffles, aux hippopotames, etc. Ici, animaux de forêt et de savanes cohabitent harmonieusement : Éléphants, Bongos, Buffles, Cynocéphales, etc...

Le Parc marin sur les Iles Ehotilés

Situé près d'Adiaké, sur la lagune Aby, à l'Est d'Abidjan, les îles Ehotilés se composent en fait de six îles : Monobahas, Niamoan, Bitouaté, Élouamé, N'Gremon et Bossou Assouan. En 1974 est crée sur ces îles, un parc marin qui a pour vocation première de permettre aux historiens et archéologues du monde entier d'effectuer des recherches scientifiques, en toute tranquilité. D'une superficie totale de 500 ha , la faune est surtout aquatique. On y accède par voie terrestre (Adiaké) et par la lagune Ebrié
.

Le Parc National de la Comoé

Fondé en 1968 sous le nom de "Réserve de Bouna" , le parc national de la Comoé situé à Bouna est à n'en pas douter le plus ancien et le plus important parc de Côte d'Ivoire, de par sa superficie 1 150 000 ha , avec 500 km de pistes carrosables, et du fait aussi de l'importance et de la variété de sa faune : Éléphants, Buffles, Cobs de Buffons, Lions, Hippopotames, Cynocéphales, plusieurs oiseaux... De nombreux et charmants hôtels ont été construits dans les villages environnant le Parc : à Kaffalo, Wangofitini, Kapkin, Ganser... L'accès au parc est facilité par la construction d'une piste d'attérissage à proximité du parc. La route est bitumée jusqu'à Bondoukou, à 180 km de Bouna.

Le Parc National du Banco

En plein coeur d'Abidjan, en bordure de l'autoroute du Nord, le parc national du Banco est un exemple de forêt primaire (Arboretum), avec des espèces de bois devenues rares (acajou, avodirés...). Au Banco, vivent de nombreux oiseaux et des singes. Des pistes pour promeneurs y ont été aménagées. De par sa proximité avec la ville, de nombreux hôtels de toutes les catégories permettent un hébergement facile.

Le Parc National d'Asagny


Situé à 100 km d'Abidjan à l'embouchure du Bandama, le parc national d'Asagny s'étend sur 19 400 ha . Entouré d'eau à 60 %, la flore y est constituée essentiellement de savane marécageuse avec des palmiers. Des éléphants, des Potamochères, des Buffles, des Singes (Îles aux Chimpanzés), plusieurs espèces d'oiseaux, y vivent en parfaite harmonie. Le Canal d'Asagny navigable, permet les promenades en bateau et est doté de Miradors, offrant une vue imprenable sur la nature environnante. D'accès facile par la route ( La Côtière ), ou par air (aéroport de Kossou), de nombreuses possibilités sont offertes aux touristes pour leur hébergement, au campement hôtel, non loin du parc, ou à Grand-Lahou.

Le Parc animalier d'Abokouamékro


Situé à 60 km de Yamoussoukro, le Parc National d'Abokonamékro s'étend sur une surface de 21 000 ha . On peut y découvrir des Eléphants, des Buffles, des Cobs de Buffons, des Rhinocéros, des Girafes. Son centre d'hébergement en construction et son accès facile, par route (l'autoroute du Nord) ou par air (vols Charter ou Air Ivoire), sont des atouts certains pour en faire un des principaux attraits de la région du centre.

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